L’École du vice▼ — Jeune fille avec tache▼▼

L’École du Vice (Antony)

Mercure de mai 1897 page 374

Nulle morale dans cette œuvre-là, bien entendu, mais l’écriture en est amusante. On y plonge aux dernières couches du monde où l’on s’abrutit. Et puis le Conservatoire (école de déclamation) y est justement secoué ! Il en neige des petites filles bien drôles et que l’on connaît presque par leurs noms. La scène de la mère d’actrice enceinte à cinquante ans sans trop savoir pourquoi et que sa fille raconte au tout Paris des alcôves, touche à l’apothéose. Elle seule ferait pardonner le livre.

Jeune fille avec tache (Offenstadt)

Mercure de janvier 1900, pages 196-197

Roman illustré de gravures fort agréables. Ce qu’on s’aime et se le prouve dans cette histoire… que de taches pour une seule jeune fille ! Tout finit honnêtement par un mariage.

Lien Gallica où l’on apprendra qu'il s’agit d’un « roman passionnel illustré précédé d’une préface par Félicien Champsaur et orné de nombreuses photographies d’après nature ». Il y a tant d’illustrations (une centaine ?) que cela commence à ressembler à un roman-photo.