G. de Raulin
Owanga, amours exotiques (Bibliothèque artistique et littéraire)
Mercure de mars 1897 page 597
Mais Owanga, amours exotiques, me scandalise ! C’est certainement un excellent rituel des cérémonies maritimes… et d’hygiène bonne accomplir au Gabon. Il y a de ces rites… tellement les mêmes, qu’ils soient développés sur un autel nègre… ou blanc ! Je ne sens pas bien la nécessité d’y appuyer. En tous les cas, G. de Raulin a vécu Owanga, sans doute, et il faut excuser le témoin oculaire.
G. de Raulin est le pseudonyme du commissaire de marine Gustave Landrieu (1863-1946).
Cette critique suit celle du recueil de nouvelles de Gustave Randanne : Les Rêves fols.
Suzy (éditions de La Plume)
Mercure de mai 1899, page 467
Un mariage exotique et le journal d’un homme trompé. L’auteur mêle agréablement des préjugés sentimentaux à des détails de grandes sensualités. Peut-être parce que cela se passe dans les pays chauds, c’est assez libre d’allure.
Rasqueux (Fasquelle)
Mercure de janvier 1901, page 173
Mœurs maritimes et assez rudes pour qu’on ne confonde pas avec les petites histoires de chambrées, toujours les mêmes, qu’ont l’habitude écœurante de nous servir les socialistes, se copiant les uns les autres, depuis le Biribi vécu de Darien.