Guy de Téramond
Les Pantins du Cœur (Simonis Empis)
Mercure de juin 1898, pages 881-882
« La grande force de l’homme est de n’être vulnérable que par les sens. » Et à la fin de ce roman un monsieur sent que cette force-là lui manque juste au bon moment. Naturellement « Toute femme que l’on n’a pas eue a quelque chose d’une vierge… » oui, mais, elle s’empresse de se jeter au cou d’un autre. Éternelle dualité entre la peau et le sentiment. Le monsieur et la dame. Cela s’appelle un roman bien parisien. Lire cela sur le boulevard.