Jules Songniez

Coins d’âmes (Havard)

Mercure de juin 1898, page 832

Sœur Madeleine est le récit touchant d’une fiancée qui se cloître dans le souvenir de son amour. Ce que j’aurais voulu, c’est que l’auteur nous fit entrevoir la figure de Dieu forcé de prendre les restes de l’homme. Cela ne doit pas l’amuser toujours ! je préfère Michel Franer. Une nouvelle moins simple où une femme se tue parce qu’elle est vraiment trop heureuse d’aimer.