Jérôme Monti

Madame Mathurin (Pierre Fort)

Mercure de décembre 1897 page 892

Ce roman est déjà paru en 1885 chez Serra puis en 1889 à la Nouvelle édition.

Parmi des scènes érotiques inutiles parce qu’elles sont trop vraies et trop connues, même en littérature sincère, quelques traits de mœurs vulgaires, amusants à cause de leur vulgarité même. Ce marchand de soupe qui ressuscite après avoir entendu ses veilleuses raconter les turpitudes de Madame Mathurin, sa propre femme, est une cocasserie funèbre assez drôle. Il paraît que ce livre a failli faire condamner son auteur pour pornographie. Pas de quoi, vraiment.

Miserere (édition du Baiser)

Mercure de juillet 1898, page 231

C’est presque ça, puisque c’est Alfred Vallette qui a rendu compte de ce livre dans le Mercure de septembre 1890, pages 333-334.

Il ne serait pas impossible que ce roman fût une réédition car, sous un autre titre, il me semble bien en avoir déjà rendu compte.