Guy de Maupassant

Le Colporteur (Ollendorff)

Mercure d’avril 1900, pages 200-201

Des nouvelles brèves, écrites dans un style simple et clair, sans autre souci que de toucher au vrai par le geste spontané de l’art. Il est entendu que ces nouvelles sont des chefs-d’œuvre, mais si le Tic paraissait aujourd’hui, signé d’un nom inconnu, je pense que l’on crierait au romantisme et au plagiat d’Edgard Poe.

Les Dimanches d’un bourgeois de Paris (Ollendorff)

Mercure de janvier 1901, page 174

Une réédition ornée d’illustrations pour ceux dont l’imagination ne peut suppléer. Mais c’est bien laid, ces petites taches blanches, jaunes, rouges, sans couleur, nous représentant des femmes et surtout les femmes vivantes de Maupassant.