Georges Mareschal de Bièvre
Tante Bébé (Plon)
Mercure de novembre 1898 page 454
Lorsqu’un auteur a un nom aussi étourdissant, il couche généralement à la porte de tous les éditeurs. C’est dédié au comte de Dienne et c’est une demoiselle presque toujours vêtue de linon rose qui raconte ça. Vous entendez la chanson d’ici, hein ? Pas plus mal écrit qu’un autre volume pour gens du monde ; c’est honnête, parfumé, gentil, attendrissant. On dirait le paravent de chez Liberty.