René Maizeroy

Joujou (Ollendorff)

Mercure de mai 1897 page 373

Joujou, L’Affaire Guerriot, Sous les aigles, Les Ennemies, La Poupée.

L’histoire tendre et touchante d’un jeune paralytique sacrifié par la vie, comme il sied. Jolis, trop jolis supplices mondains. Les auteurs dits : à la mode ne savent pas du tout l’effet qu’ils peuvent produire sur un lecteur obligé de les lire à la file : c’est comme si on se promenait tout le temps dans des magasins pareils. C’est par leur faute en particulier mais en général… Le petit paralysé meurt d’avoir lu la lettre de sa bien chérie, écrivant qu’étant enceinte elle a peur d’avoir des êtres difformes. Cette scène est belle et, heureusement, pas modiste.