Victor Joze

Les Sœurs Vachette (Antony et cie)

Mercure d’août 1896 page 350

On ne confondra pas Victor Joze avec Virgile Josz.
Cette critique est la dernière de ce numéro.

Ceci pour le stock des romans moraux. Pas lourd, celui-là. Maintenant, Les Sœurs Vachette, de M. Victor Joze, pour la bonne bouche.

Mon impression : — ? . . . . . . . . !

La Cantharide (Antony et Cie)

Mercure de février 1897 page 390

Le texte de cette critique n’est qu’un seul paragraphe qui commence avec la critique de L’Abbé Sylvestre d’Édouard Michel et se termine ici.

et nous retombons, du confessionnal, dans La Cantharide de Victor Joze… pas le lire, ajouterait Willy. Je ne puis rien citer et je le regrette ! La seule phrase de Laurent Tailhade, phrase célèbre adressée à une vieille demoiselle de félicité, prenant l’air sur son trottoir, peut résumer mon impression : « Vous m’inspirez, Madame, un sentiment bien vif : l’horreur du péché ! »

La Tribu d’Isidore (Antony)

Mercure de septembre 1897 page 525

Mœurs juives. Il paraît que c’est le premier d’une grande série. Des épisodes en Pologne nous préparent de gros drames pour l’avenir… français. L’arbre généalogique placé au début de ce livre doit faire pâmer d’admiration notre maître Zola. Sous ses allures feuilleton, ce roman a l’air fort documenté.

Lithographie d’Henri de Toulouse-Lautrec (1895) pour la couverture. Collection “bibliothèque de l’INHA”