E. A. Butti

L’ÂmeL’Automate▼▼

L’Âme (Ollendorff)

Mercure de mars 1897 page 597

Une histoire de revenant scientifiquement démontrée, c’est-à-dire, se passant de nos jours. Un vampire suçant le cerveau d’une jeune fille. Le fiancé humain en devient presque fou, mais il en découvre l’immortalité de l’âme. Conclusion morale un peu longue, peut-être parce que morale.

Enrico Annibale Butti (1868-1912), romancier et dramaturge milanais.
Traduction par Jean de Casamassimi

L’Automate (Mercure)

Mercure de juillet 1898, page 229

L’histoire d’un homme, sans plus. Ce n’est pas flatteur pour les hommes. Très bons premiers chapitres où l’on voit l’enfance du petit Attilio développer tout ce qu’il sera plus tard, en quelque sorte malgré lui. Langue agréable et fort française.

Traduction de l’italien par M. Lécuyer.
Ce roman est paru en feuilleton dans Le Figaro du lundi huit février au 26 mars 1897.