Gaston Auvard

Une Tête de Femme (Perrin)

Mercure d’août 1896 page 350

À la fin d’une des critiques précédentes Rachilde a noté, assez cruellement : « Nous voici à présent devant le stock des adultères de fin de saison. Je vais liquider avec joie. »

L’adultère en ascenseur : Une Tête de Femme, par Gaston Auvard. Scène très curieuse qui semble tirée de la Patronne (à moins que ce soit le contraire), où l’on voit que la vertu a des degrés absolument comme un escalier aurait les marches ! Tout finit bien, c’est-à-dire en queue de poisson, la dame est froide et le monsieur va voir les filles (4629e scène de ce genre, absolument réussie). Livre soigné, mondain, remarques fines, talent des plus hors-ligne.