Henri Ardel

Tout arrive (Plon)

Mercure de février 1899 page 469

Une jeune indépendante russe tombe dans une bohème bourgeoise où il y a un bas-bleu ridicule et préraphaélite, au moins pour les bandeaux : « Je me coiffe comme Botticelli, » mot célèbre de je ne sais quelle hétaïre intellectuelle et qu’on aurait du plaisir à rencontrer dans ce roman… où tout arrive… sauf des mots. Mais ça se comprend, ils sont tous gens de lettres là-dedans.