Jacques Yvel

Les Rêves de la Belle au Bois dormant (Lemerre)

Mercure de novembre 1895 page 259

Ceux qui aiment les lis, les roses, les marjolaines, les petits ruisseaux, le bel azur et le joyeux printemps, sont, dans ces contes de jeune homme, très copieusement servis. Il faut vivre assuré que tout est au mieux dans le meilleur des mondes pour se laisser allez à écrire des choses aussi tendres ; mais, réflexion faite, rêver debout en bon français et avec un brin d’imagination parfumée n’est pas une œuvre blâmable… Bonne lecture de banc de jardin pour demoiselles timides.