Hermann Sudermann
Les Noces d’Yolanthe (Calmann-Lévy)
Mercure de mai 1900, page 482
Le Lys des Indes ; Automne ; La Donna e mobile ; Le gardeur d’oies ; Elle sourit. L’une des deux personnes ayant procédé à la traduction est Noémi Valentin.
Les Noces d’Yolanthe ont été traduites, avec quelques autres nouvelles[1] par MM. Valentin et M. Rémon.