Marcel Rouff
Les Pèlerins (Ollendorff)
Mercure d’août 1899, page 498
Dans son compte rendu des Romans de La Revue blanche du premier janvier 1900, page 77, Léon Blum écrit « roman considérable […] d’un romantisme échevelé […] avec de la flamme et de la vigueur… »
Un sensuel qui court après l’apaisement… parce que tout ce qui doit finir est trop court. Mars rencontre Geneviève, une insatiable comme lui, et la tue sous ses caresses. Un peu osé, ce roman[1]. Aura du succès, certainement, car il appuie sur les choses qu’on représente, d’habitude, par des lignes de points. La course à l’amour à travers l’Europe est une assez jolie conception du pèlerinage vers la… vertu.