Louis Riballier
Philibert (Plon)
Mercure de janvier 1900, page 195
Philibert, pages de la trentième année, journal d’un jeune homme qui essaie de recommencer sa vie, mais trouve qu’il est inutile parce que la vie, sociale, ou amoureuse, est trop pleine de goujats. Il a des étonnements naïfs qui prennent leur source dans une grande honnêteté de conscience et quelques réflexions tendant à prouver que si l’armée est néfaste, c’est qu’elle contient plus de couards socialistes que de courageux aristocrates. Voilà une dure vérité !