Jules Pravieux
Monsieur l’aumônier (Plon)
Mercure de juin 1899, page 762
Aimable roman qui égratigne d’un ongle léger et poli les mœurs du monde provincial et aussi les défauts des jeunes filles élevées trop librement dans le monde artiste de Paris, mais celui qui se respecte encore. Monsieur l’Aumônier, par son onction, sa facile indulgence et un neveu qui répond au nom romanesque de Gildard, arrange les choses pour la plus grande gloire de Dieu. Seulement, on prévoit que Renée Damon trompera son époux Gildard. C’est dans l’ordre.