Léon Miral

L’Éternelle faiblesse (Calmann-Lévy)

Mercure de janvier 1898 page 23

Une histoire d’adultère bien longue. Les femmes sont moins faibles que l’homme qui n’arrive pas à vaincre sa passion désordonnée pour une créature assez vertueuse. Un mari remet tout au point en tuant la maîtresse, l’épouse légitime pardonne, sans doute encore par faiblesse. Ce roman, pas plus mauvais qu’un autre, semble d’une longueur désespérante.