Ernest Maury
L’Impuissance d’aimer (Ollendorff)
Mercure de janvier 1898 page 230
Très fine psychologie d’une passion qui ne sait se borner aux assouvissements de la chair et rêve de plus hautes étreintes. Brusquement, en pleines joies, l’amoureuse se refuse et l’amant s’exaspère, puis ils essayent de s’aimer chastement, mais l’amoureuse perd la partie en rêvant au lieu de la perdre en agissant, et quand elle essaye de réagir, je crois qu’il est trop tard.