Auguste Marin
La Belle d’Août (Ollendorff)
Mercure d’octobre 1897 page 233
Récits des côtes provençales. Légendes corses. Contes gascons. Un style parfumé des expressions du terroir. Le Désastre de Garcès est une bonne critique… à l’huile d’olives, des mœurs babillardes des habitants du célèbre golfe, et je sais tel petit portrait de gamin costumé en rosière, dans mon ami Firmin, qui est une vraie perle. Les récits tauromachiques ont aussi une bonne saveur de cruauté naïve. Ce livre est couvert d’une jolie page de couleur.