Jean-Baptiste Marcaggi
Fleuve de sang (Perrin)
Mercure de juin 1898, page 831
Histoire d’une vendetta corse. C’est la plus inexprimable des hécatombes, sans rime ni raison. À toutes les pages on dégringole sur un cadavre nouveau. C’est aussi cocasse que macabre. En lisant ça, on finit par comprendre pourquoi Napoléon premier tue tant de gens et ne parvient jamais à écrire en bon français.