Béatrice Harraden
Les Ombres qui passent (Perrin)
Mercure de mai 1899, page 466
Roman traduit de l’anglais par Mestral Combremont
Très joli et très philosophique petit roman entre deux pauvres malades faisant une cure d’air. Ils y gagnent le mal d’amour, et, au moment de s’unir, l’un des deux, la jeune femme, est écrasée par une voiture… qui passe aussi, comme les ombres de leurs deux pauvres corps.