Gustave Guesviller

Le Droit chemin (Plon)

Mercure de juillet 1900, page 217

Où il est démontré que l’adultère est une chose normale qui évite bien des malheurs, sinon au mari, du moins à la femme. J’aime assez les romans, gravement écrits, qui donnent tous les pires résultats à la meilleure morale. L’amour étant une passion, on ne peut que le traiter par la passion, c’est évident, mais les maris ne meurent pas tous à point… alors le Droit chemin est peut-être encore le plus sûr.