Émile Dodillon

Le Purgatoire de Madame Roblin (Lemerre)

Mercure d’octobre 1898, page 203

Amusantes restitutions provinciales. Une brave cocotte, rangée des voitures et même des fiacres, a marié sa fille à un notaire pour lui éviter de tourner mal… même autour des omnibus. Son purgatoire commence à l’entrée de l’amant dans le ménage, mais elle finit par tout sauvegarder, jusqu’à l’honneur, en faisant avorter sa fille. Ironique, ce roman est d’un réalisme sans brutalité qui ne choque ni n’impatiente. Il y a des notaires jouant au cercle qui sont sérieusement peints.