Édouard Delpit
Sans merci (Calmann-Lévy)
Mercure de juillet 1898, page 232
Curieux drame se passant entre une héritière et un tuteur qui l’hypnotise pour avoir sa fortune. Un roman selon les anciens procédés, mêlant l’aventure feuilletonnesque aux descriptions naturalistes. Les premiers chapitres, fort soignés, faisaient prévoir mieux. Au courant des autres, une kyrielle de locutions bien usées. L’auteur a l’air de s’en fiche considérablement, du reste, et ça fait plaisir à sous-entendre qu’il s’en fiche.