Nonce Casanova
Le Choc (Société libre d’éditions des Gens de lettres)
Mercure de mai 1897 page 374
Roman de passions échevelées en une langue bizarre, rempli de belles images, et quelquefois tombant dans une regrettable préciosité de terme. Histoire d’une fille qui finit par s’éprendre (sans le savoir) d’un enfant qu’elle a eu… comme premier faux pas. Le choc, c’est je pense que la mère et l’enfant tombent du haut d’une falaise comme dernier faux pas. Maintenant, le nom de l’auteur, indiquant qu’il n’est pas français[1], indique peut-être aussi qu’il exagère nos exagérations à cause de son esprit italien. Ça peut se corriger facilement au second livre.
Affirmation un peu rapide…