Carolus
Napoléon et l’Amour (Albert Méricant)
Mercure de janvier 1901, page 174
Le Carolus en question semble être un Carolus Didier, dont on ne sait pas grand-chose sinon que s’est établie à la fin de 1897 une société Didier et Méricant qui a créé les éditions Albert Méricant. Cette maison a publié Napoléon et l’amour, premier titre d’une série représentant un filon pas croyable, ainsi que le montre l’image ci-dessous
Cette série a rassemblé d’autres titres dont le numéro douze était, justement ;
Le Roman de l’Aiglon.
Le Roman de l’Aiglon (Albert Méricant)
Mercure de janvier 1901, page 174
Il est bon de signaler à la juste indignation des lettres ces petites saletés à trente centimes, mal écrites et mal illustrées, tâchant de disputer a Rostand un brin de ses lauriers impériaux. Cela lire à quatre-vingt-dix mille parce que cela s’appelle roman de l’Aiglon, et c’est aussi plat que la réclame elle-même, j’entends la réclame payante dont se contente l’auteur en question. Maintenant, il est possible que Carolus soit un pseudonyme de Rostand. Alors je retire ce que j’ai dit… par pure politesse.