Adolphe Boschot

Pierre Rovert (Perrin)

Mercure de juillet 1896 page 159

Journal d’un sensitif. Mémoires d’une passion double où l’éréthisme physique est en désaccord absolu avec l’éréthisme intellectuel. Pierre Rovert aime les deux sœurs, l’aînée pour son corps tout flambant de désirs, et la cadette pour son ingénuité virginale. Il n’en possède qu’une et meurt pour l’autre, que, bien certainement, il doit préférer à celle qu’il possède. Joli style et heureuses trouvailles de métaphores, quoique trop de musique, oh ! bien trop de Wagner.