Henriette Besançon
Madame Tartarin (Plon)
Mercure de juillet 1900, page 217
Joyeux livre et joyeuse famille, où il y a le type toujours si amusant du farceur pour dames, un Monsieur dont l’introduction dans les maisons de petite bourgeoisie fait l’effet d’un sternutatoire. Tout le monde se marie à la fin, même Mme Tartarin, histoire de n’en pas perdre l’habitude. La petite note mélancolique est représentée par une fillette malade… que l’amour guérit. De l’esprit, et, chose étonnante, c’est une femme qui ose écrire ce livre gai, sentant bon la jovialité franche et pourtant propre