Antoine Albalat
Marie (Armand Colin)
Mercure de janvier 1898 page 248
Douce histoire de pitié. Une petite créature ignorante et chaste séduite par un fils de famille quelconque. Il lui promet le mariage… avec une autre, ce qui est original, et il tient sa promesse ; il épouse une jeune fille riche, laissant se faner la fleur des champs dans les ruines de son pauvre amour. Roman naïf, mais on ne peut guère se défendre contre la réelle émotion.